Top 5 des raisons qui vous feront préférer l’avocat à la société de recouvrement?
Des factures impayées ? Un client qui ne répond plus ? Une créance en souffrance ?
Comment récupérer sa créance ? Vers qui se tourner ? Pourquoi préférer l’avocat à la société « spécialisée » ?
Les sociétés de recouvrement de créance ont vu leur nombre croitre ces dernières années du fait de l’augmentation des impayés et de l’externalisation du recouvrement de la part des créanciers. Mais pour autant, faut-il leur transmettre sa créance ? Faut-il préférer cette solution facile et sur le papier, rapide et peu onéreuse à un professionnel soumis à des règles strictes?
Voici les 5 raisons de préférer les avocats !
- Un professionnel qualifié
– Une formation juridique de minimum 5 ans sanctionnée par un examen
– Une spécialisation validée dans le domaine de l’entreprise (assurances, banques, transport) ou dans le domaine du litige (droit commercial, droit public)
– Une obligation de formation continue sous peine de suspension de son activité tout au long de sa carrière
L’avocat : un professionnel connaissant son droit sur le bout des doigts !
- Un professionnel légitime
– Une profession règlementée : la garantie pour l’entreprise d’avoir à faire à un professionnel qualifié
– Un moyen de vérifier l’inscription du professionnel en un clic sur le site du Barreau d’où il dépend
– Un annuaire électronique centralisé sur le site du Conseil National des Barreaux : http://cnb.avocat.fr/Trouver-un-avocat-en-France_a341.html
L’avocat : un professionnel ne pouvant pas se cacher !
- Un professionnel sérieux et responsable
– Une profession garantie par un serment : l’avocat jure d’exercer sa profession avec probité
– Des sanctions pénales et disciplinaires en cas de non respect
– Une déontologie protectrice des intérêts de ses clients
– Un obligation de s’assurer auprès de l’Ordre des avocats pour prévenir des erreurs liées à l’exercice de ses fonctions : une assurance responsabilité
L’avocat : un professionnel agissant avec probité !
- Un tarif clair et fixé dès le départ
– Un professionnel capable de quantifier le coût de son travail et les coûts de ses partenaires (Greffiers, Huissiers)
– Des honoraires suivant trois schémas : fixes, au résultat ou au taux horaire
– Un tarif encadré par la déontologie de l’Ordre : un avocat qui propose un taux exorbitant s’expose à des sanctions
L’avocat : Un professionnel qui ne peut surfacturer !
- Une déontologie garante de son action
– Mode de communication et d’information sur le dossier
– Transparence et disponibilité
– Modalités de reversement des fonds encadrées pour éviter les détournements ou abus de confiance :
L’avocat : un professionnel ne pouvant pas tromper !